Déclaration du ministre des Affaires étrangères, Nikos Dendias, aux journalistes grecs à l’issue de ses contacts à Rome et au Vatican (Rome, 09.11.2021)

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La journée d’aujourd’hui à Rome a été très intéressante. Tout d’abord, j’ai eu le plaisir et l’honneur d’être reçu par le Cardinal Parolin, Premier Ministre du Saint-Siège, avec qui, bien sûr, nous avons discuté de la préparation de la visite du Pape François en Grèce. Et, bien sûr, nous avons eu l’occasion d’examiner la situation dans la région plus élargie de la Méditerranée orientale et des Balkans occidentaux, des régions à l’égard desquelles le Saint-Siège manifeste un intérêt. Il était également important que j’aie l’opportunité de m’entretenir avec M. Fassino, président de la Commission des affaires étrangères du Parlement italien, et de m’adresser, par la suite, à la Commission et de répondre à leurs questions. J’ai pu décliner les positions grecques sur la situation en Méditerranée orientale et en mer Égée, l’agression turque et les défis auxquels la Grèce est confrontée, les défis auxquels l’Europe est confrontée. Et je pense qu’un terrain d’entente a été trouvé au cours de la discussion sur la façon dont ces questions pourraient être réglées. Mais, bien sûr, les défis sont toujours devant nous. Et cela nécessite un effort continu pour les relever.